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De vrais amis au service des talents de l’Unistra

Il y a les « amis » sur Facebook, les « likers », et les suiveurs, les « followers » sur Tweeter. Curieuse constellation de virtuels (parfois faux) amis… En mesurer le nombre pour avoir une idée de la notoriété et se faire mieux connaître est important.
Mais il y a aussi, fort heureusement, les amis réels ; ceux qui prouvent leur amitié par des actes. Mercredi dernier, le cercle Gutenberg remettait des prix à de jeunes talents de notre université : Cyriaque Genet et Joseph Schacherer pour le prix Ourisson ; Olivier Guichard et Michaël Weber pour le prix de la fondation Unistra. Bonheur toujours renouvelé de voir tant de promesses éclore dans notre université !
Mais le cercle honore aussi les seniors étrangers : la chaire Gutenberg va cette année à Matthias Morgenstern, professeur à l’Université de Tübingen, qui travaille sur l’influence des Réformateurs du Rhin supérieur sur Luther. Voilà déjà deux amis fidèles dans leurs œuvres : le cercle Gutenberg et notre fondation, qui fédère des centaines de donateurs comme autant d’amis.
Il y a bien d’autres amis, comme, pour n’en citer qu’un, la Société des amis des universités de l’académie de Strasbourg, sans l’aide financière de laquelle le Service relations alumni de l’Unistra n’aurait pas vu le jour. Ce réseau-là n’est pas virtuel. Régulièrement, le site de l’Unistra propose des portraits de ces alumni, dans leur riche diversité, vrais amis, qui s’engagent concrètement pour le rayonnement de notre université et la réussite de toute l’université.

Michel Deneken,
président de l'Université de Strasbourg

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Déchets : n’en jetez plus !

Carole Dieffenbacher, Joana Levy et Carole Bridault-Louchez

Chaque semaine, personnels, étudiants et visiteurs de l’Unistra produisent plus de 400 m3 de déchets, entre matériaux scientifiques, fournitures de bureau et gestes de la vie pratique. Les initiatives se multiplient pour améliorer leur gestion et les réduire à la source. Zoom sur cette partie immergée de notre quotidien, à l’occasion du changement de prestataire de collecte.

Ici, on trie ! Dans la cuisine commune du département Gestion des études, au rez-de-chaussée du Patio, un bac de compostage est en bonne place. C’est grâce à Carole Bridault-Louchez que l’équipe est passée pro dans l’art du compostage. Militante du zéro déchet, au point de faire partie des fondateurs de Zero waste Strasbourg, elle a convaincu ses collègues de jeter à part trognons de pommes et pain rassis et de les déposer régulièrement au compost collectif du jardin intérieur du Patio (photo). Loin de se cantonner à ramener sa gourde au bureau et à fabriquer ses produits d’entretien, elle a sauté sur l’occasion en lisant l’appel à projets du Spacs, l’année dernière. En 2017, elle propose donc, avec des bénévoles de son association, une série d’ateliers visant à prendre conscience de l’importance de réduire ses déchets (28 avril) et à donner des clés pour agir (fabrication de produits ménagers et de cosmétiques naturels, 24 mars et 19 mai). Bien entendu, une séance est consacrée au compostage, avec un pique-nique collectif, le 30 juin. Devant le succès rencontré, le nombre de participants a été augmenté : inscrivez-vous sans tarder !

Carole Dieffenbacher ne peut qu’applaudir cette initiative. Au Service prévention sécurité environnement, c’est elle qui a hérité de la mission « gestion des déchets ménagers », en 2012. Pour gérer au mieux les 131 bacs jaunes et 212 bacs bleus disséminés sur les campus, elle travaille pied à pied à la mise en place de référents dans chaque bâtiment. Ils sont 30 aujourd’hui, chargés de diffuser les consignes de tri. « Une mission dans laquelle ils s’investissent plus ou moins, selon leur affinité avec le sujet. Avec le Département des achats-marchés, nous sensibilisons aussi les agents de nettoyage. »
Un travail de patience, d’autant que les consignes de tri évoluent au gré des changements de marché. Justement, la collecte des déchets recyclables (papiers, cartons, aluminium) vient de passer du giron de l’Eurométropole à Schroll. Pour des raisons économiques, la collectivité ayant quadruplé ses tarifs d’enlèvement. Ce qui ne change pas, c’est le volet valorisation prévu par le contrat : recyclage pour le contenu des bacs jaunes, valorisation énergétique par incinération pour les déchets ménagers (bacs bleus).
Et les déchets verts dans tout ça ? Pas moins de 40 tonnes sont produites par an. Envoyées en plateforme de compostage, elles sont retraitées pour devenir du compost.

Carole Bridault-Louchez et Carole Dieffenbacher en sont convaincues : « C’est par la sensibilisation de certaines personnes-clés, souvent déjà dotées d’une fibre « écolo », que l’idée d’une meilleure gestion et d’une réduction des déchets va gagner du terrain. »
Aujourd’hui, elles savent qu’elles peuvent compter sur Joana Levy dans leur mission. La jeune femme a été embauchée l’année dernière par la Direction du patrimoine immobilier (DPI) en tant que chargée de projet développement durable*. Une service civique, Clarisse Pham, travaille à ses côtés sur la thématique de la gestion énergétique. Ensemble, elles imaginent des actions de sensibilisation à essaimer à l’université, en lien étroit avec l’association étudiante Campus vert. Joana interviendra logiquement aux côtés de Carole Bridault-Louchez, le 28 avril, pour l’atelier « Réduire ses déchets au travail ». La boucle est bouclée pour faire entrer l’université dans un cycle vertueux !

  • Du 27 février au 30 mars, en préambule de la Semaine de l’environnement (programme en construction), un défi est lancé par Campus vert : qui, parmi les équipes d'étudiants et de personnels, comptabilisera le plus d'écogestes quotidiens ?

E. C.

* Le poste bénéficie du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.

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Le gobelet éco-responsable affiche les couleurs du langage visuel de l'Unistra

Le Directeur général des services (DGS) de l'Université de Strasbourg, Frédéric Dehan, a souhaité offrir aux personnels administratifs le gobelet affichant le nouveau langage visuel de l'université. Il s’agit modestement de contribuer à la mise en œuvre de notre nouvelle identité visuelle, dont l’importance en termes d’image ne vous aura pas échappé.

Ce gobelet, recyclable et réutilisable, fabriqué en France, devrait permettre de faire l'économie de nombreux gobelets plastiques jetables et participe de la volonté de l’université de promouvoir l’éco-responsabilité et la responsabilité sociale de notre institution.
Il est aussi un exemple de ce que peut donner le langage visuel appliqué à un objet.

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La biomasse, source d'inspiration et d'innovation

Alors que les initiatives se multiplient pour réduire les déchets et améliorer leur gestion, comment la recherche peut aider à mettre en œuvre ces attentes environnementales ? A l'Institut de chimie et procédés pour l'énergie, l'environnement et la santé (ICPEES) de Strasbourg, des chercheurs créent de nouveaux matériaux en valorisant la biomasse. Reportage.

Pour les chimistes, les algues recèlent des molécules innovantes © Microphyt

Moins d’une heure d’utilisation pour plusieurs centaines d’années de durée de vie… Les sacs plastiques à usage unique des grandes surfaces n’étaient pas vraiment du genre eco-friendly. Aussi, depuis le 1er janvier 2017, ils sont officiellement remplacés par des équivalents biosourcés et compostables. Ces sacs plastiques biodégradables, reconnaissables à leur toucher particulier, sont constitués en partie d’amidon, un polymère naturel présent notamment dans le maïs ou la pomme de terre.

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Love is in the air : la preuve par quatre !

Saint-Valentin oblige, il va flotter sur le campus une ambiance romantique à souhait, autour du 14 février ! L’université, à travers son Service universitaire de l’action culturelle (Suac), s’associe au Crous et à l’opération Strasbourg mon amour pour une semaine propice au coup de foudre et au badinage amoureux !

Speed-dancing
Le Crous revisite le concept du speed-dating en proposant un concept original : du lundi 13 au jeudi 16 février, amoureux de la piste de danse ou simples amateurs ont rendez-vous dans quatre restaurants universitaires où se déploient des pistes de danse éphémères. Salsa, bachata, folk : chaussez vos plus beaux souliers et donnez-vous-en à cœur joie !
Resto U Paul-Appell (lundi 13), Esplanade (mardi 14), Illkirch (mercredi 15), Cronenbourg (jeudi 16), de 11 h 30 à 13 h 45.

Kiss challenge
Le mythique canapé rose de Strasbourg mon amour prend cette année place pour la première fois sur le campus de l’Esplanade. Rendez-vous devant le parvis de la Faculté de droit pour un shooting photo mémorable en couple, entre amis ou collègues pour immortaliser votre complicité et votre amour ! En bonus, votez pour la meilleure photo sur la page Facebook du Crous et gagnez un dîner aux chandelles pour deux personnes.
Mardi 14 février, de 11 h 30 à 14 h 30, parvis de la Faculté de droit  (
aula du Palais U en cas de temps pluvieux)

Un cadeau de Saint-Valentin DIY
Amateur du fait-main pour vos présents ? Ça tombe bien, les bénévoles de Campus vert mettent à votre disposition du matériel pour concocter à votre dulciné(e) un cadeau 100 % DIY (do it yourself) dont vous pourrez être fier !
Lundi 13 février, de 18 h 30 à 20 h 30, annexe du resto U Paul-Appell,
sur inscription, prix libre

Un amour de Gallia
Pimentez votre quotidien en invitant votre moitié à un dîner aux chandelles improbable… au resto U Gallia ! Ambiance musicale romantique, slows langoureux et rythme endiablés sont garantis dans le menu !
Mardi 14 février, de 18 h 30 à 23 h, au resto U Gallia

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Cocktail ou café love : le Sumps vous invite !

Vous avez des questions sur le VIH et les autres infections sexuellement transmissibles (IST) ? Du 14 au 16 février, le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumps) vient à votre rencontre. Un « kit love » sera mis à disposition gratuitement.

Rendez-vous mardi 14 février, au resto U Gallia, et jeudi 16 février, au resto U Esplanade, de 11 h 30 à 14 h, pour partager un moment convivial autour d'un café offert par le Crous et vous informer sur les IST. Mercredi 15 février, le Sumps sera à la cafétéria de la cité universitaire de la Robertsau, de 19 h à 21 h, pour discuter des questions d'IST autour d'un cocktail sans alcool offert.
Le dépistage est le seul moyen efficace pour savoir si on est infecté(e) par le VIH/Sida ou par une IST. En effet, il n'y a pas toujours de symptômes ou de signes extérieurs visibles. En France, on estime que 150 000 personnes seraient infectées par le VIH, dont 30 000 l'ignorent. Les personnes séropositives qui s'ignorent seraient responsables de plus de la moitié des nouvelles contaminations. 25 à 30 % des nouveaux patients dépistés positifs le sont à un stade tardif.
Se dépister pour le VIH permet de dépister l'infection à un stade précoce, ce qui restreint le risque de progression vers le stade sida et réduit le risque de décès. Par ailleurs, toutes les études montrent que les personnes traitées efficacement ont un risque de transmission du virus considérablement diminué.

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Savoir à tout vent

Copiloté par les universités de Strasbourg et de Lorraine, Eole* est un des cinq lauréats de l’appel à projets pour le Développement d’universités numériques expérimentales. Mot d’ordre : ouvrir les savoirs à de nouveaux publics.

Lancé par l’Agence nationale de la recherche (ANR), l’appel à projets pour le Développement d’universités numériques expérimentales (Dune) a rendu son verdict. Après une première sélection de huit projets aptes à se présenter devant le jury, sur les 24 déposés depuis le 8 novembre 2016, cinq projets ont finalement été attribués le 14 décembre. Parmi eux se trouve le projet Eole (Engagement pour ouvrir l’éducation), déposé en partenariat par l’Université de Strasbourg et l’Université de Lorraine, avec douze participants, dont les universités de Haute-Alsace et de Champagne-Ardenne, les écoles nationales d’architecture de Strasbourg et Nancy, les écoles de chimie de Mulhouse, Nancy et Strasbourg, la fondation Université numérique, ingénierie et technologie (Unit), l’UOH, le groupe Thalès…
« L’idée fondatrice d’Eole, explique Philippe Portelli, directeur des usages du numérique de l’Unistra, c’est de donner les moyens d’ouvrir les savoirs et les formations de l’université à d’autres publics grâce au numérique. » Autrement dit : dans une perspective de formation tout au long de la vie, utiliser le numérique au service de l’individu considéré comme apprenant potentiel de la naissance à la mort. Philippe Portelli précise : « Nous mettons nos savoirs à disposition d’un public que nous ne connaissons pas. »

Compte numérique de formation

Pour y parvenir, le projet Eole tourne autour de trois axes. Il est d’abord question des espaces d’apprentissage. Il peut s’agir de vrais lieux physiques innovants, comme ceux installés à l’École supérieure du professorat et de l'éducation (Espé) pour les enseignements, à la bibliothèque universitaire d’Illkirch pour des activités collaboratives, ou au Patio pour des activités pédagogiques innovantes ou de lieux virtuels où des d’étudiants retrouvent des enseignants pour des cours ou des expositions virtuelles dans des environnements immersifs en 3D. Il est ensuite question des moteurs de la transformation : comment met-on un cours à disposition d’un public externe, quid de la propriété intellectuelle, comment les apprentissages sont-ils validés, par quelles méthodes d’évaluation, comment optimise-t-on les « traces » d’apprentissage qui indiquent précisément le parcours numérique de l’apprenant afin d’améliorer la pédagogie, comment croise-t-on les données personnelles ou pédagogiques avec les données massives pour l’emploi ?
Et enfin, dernier axe : le compte numérique de formation. « C’est la partie émergée de l’iceberg », commente Philippe Portelli. Un tableau de bord, où l’apprenant visualise dans quel parcours il se situe, à quel niveau, quelles ressources pédagogiques et documentaires sont recommandées, quelles compétences il a acquises, à quel emploi il peut prétendre… Le projet envisage un lien vers des coffres forts numériques, contenant des boîtes d’archives numériques, où l’apprenant stocke ses rapports de stage, son mémoire, son diplôme… « L’objectif final, insiste le directeur de la DUN, c’est de créer l’environnement permettant de proposer des formations modulaires et flexibles à de nouveaux apprenants. C’est le modèle républicain de l’université. »
Ensemble, les cinq projets lauréats se partageront une enveloppe budgétaire de 8 millions d'euros, sur deux à trois ans. Eole a pour objectif d’être opérationnel d’ici trois ans.

Jean de Miscault

* Bénéficie du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.

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Adieu salle des thèses, bonjour amphithéâtre Alain-Beretz

Alain Beretz, en compagnie de Michel Deneken, lors de l'inauguration de l'amphithéâtre portant son nom, le 14 octobre 2016.

Nombreux sont ceux qui l'ignorent encore à l'université (ce qui peut donner lieu à quiproquo logistique !) : la salle des thèses du Nouveau Patio a été rebaptisée du nom de l'ancien président de l'Université de Strasbourg (2009-2016).

À la recherche de la salle des thèses du Nouveau Patio ? C'est peine perdue, et pour cause. L'appellation de cet amphithéâtre, situé dans les étages du bâtiment abritant la présidence de l'université, porte désormais le nom du premier occupant des lieux : Alain Beretz. La signalétique a été modifiée en conséquence. Prenez-en bonne note, notamment pour vos futures invitations !

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Objectif Journée portes ouvertes !

Qui mieux que les étudiants pour parler de la vie étudiante ? C’est en partant de ce constat qu’Espace avenir a imaginé, en préambule de la Journée portes ouvertes (JPO) 2017, lancer un concours photo ouvert aux étudiants. Les meilleures seront exposées le jour-même, le 11 mars.

Votre vision de l’Université de Strasbourg, à travers l’objectif de votre appareil photo ou de votre smartphone : c’est le défi lancé par Espace avenir aux étudiants, tous invités à participer. Les 20 meilleures photos seront exposées lors de la journée Portes ouvertes 2017, samedi 11 mars, dont l’objectif est de présenter l'Unistra aux lycéens et étudiants, en valorisant ses enseignements, sa vie étudiante et bien sûr... ses étudiants eux-mêmes ! Les 20 meilleures photos sélectionnées sur le thème « Être étudiant à l'Université de Strasbourg » seront exposées lors de la JPO, samedi 11 mars, en salle 001 du Nouveau Patio. De nombreux lots ont été mis en jeu dans ce concours, ouvert jusqu'au 10 février.

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L’Université de Strasbourg parmi les 50 universités les plus internationales

Le journal britannique Times Higher Education classe l’Université de Strasbourg au 47e rang des universités se distinguant pour leur ouverture à l’international. Parmi les établissements français figurant dans le classement, elle est 4e.

Selon la déclinaison française du palmarès mondial des universités du Times Higher Education, dévoilé début février, l’Université de Strasbourg figure en bonne place parmi les établissements d'enseignement supérieur satisfaisant de hauts critères d’internationalisation (réputation internationale, taux d’étudiants et de professeurs étrangers, publications avec au moins un co-auteur étranger, réputation). Il est à noter que les établissements non-anglo-saxons se distinguent parmi le top 20 : ETH Zurich (1er), EPFL (2e), Université de Zurich (15e) et Polytechnique (16e). Juste devant l'Unistra figurent l'École normale supérieure (ENS) (42e) et l'Université Pierre-et-Marie-Curie, 43e.

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Les renseignements sur les masters de l'Unistra en cours de mise à jour

Le portail national trouvermonmaster.gouv.fr a été officiellement lancé le 1er février dernier.

L’ensemble des renseignements utiles pour suivre les masters proposés par l’Université de Strasbourg est en cours de mise à jour. Cela fait suite à la mise en application de la loi du 23 décembre 2016 portant sur l’adaptation du deuxième cycle de l’enseignement supérieur au système Licence-Master-Doctorat (LMD) et intervient conjointement à la sortie du portail trouvermonmaster.gouv.fr.

La mise à jour des renseignements utiles concernant les masters délivrés à l’Université de Strasbourg concerne les capacités d’accueil et les modalités de sélection en première et deuxième année de master, ainsi que les calendriers des procédures d’admission. Le portail trouvermonmaster.gouv.fr, officiellement lancé le 1er février 2017, est présenté comme une aide à la réflexion et recense les mentions de masters au niveau national. Les étudiants sont ensuite dirigés vers les établissements concernés par leur choix où ils effectuent leur candidature.